PédagoTIC - Réforme - Commentaires2022-09-08T13:36:33-04:00Patrick Girouxurn:md5:67c8906fbe5029d2332f9922007a59b2DotclearPlan d'action numérique en éducation du Québec - Patrick Girouxurn:md5:aa7532fd253aeaf853193d1c492ff0742018-09-05T10:49:15-04:002018-09-05T10:49:15-04:00Patrick Giroux<p>Merci pour le commentaire.</p>
<p>Je suis d'accord, c'est encourageant. De plus, on a pu voir un investissement important dans les écoles à la fin de l'année scolaire. C'est donc concret!</p>
<p>Les prochains mois seront cruciaux. Il faut former et accompagner les enseignants. Je compte bien aider un peu, dans la mesure des mes capacités.</p>Plan d'action numérique en éducation du Québec - KVézinaurn:md5:c5c3793b364debdfc17f14fa05def5042018-08-13T11:02:48-04:002018-08-13T11:02:48-04:00KVézina<p>À la lecture du plan d’action annoncé par le gouvernement du Québec, je dois avouer que je suis plutôt contente de voir que cet enjeu est pris au sérieux et que ce plan est tout au moins un commencement pour effectuer un virage dans l’éducation de nos enfants. Comme le mentionnait aussi Michel Serres (<a href="http://pedagotic.ca/?post/2017/10/06/Michel-Serres-sur-la-n%C3%A9cessit%C3%A9-d-adapter-l-%C3%A9cole-au-21e-si%C3%A8cle," title="http://pedagotic.ca/?post/2017/10/06/Michel-Serres-sur-la-n%C3%A9cessit%C3%A9-d-adapter-l-%C3%A9cole-au-21e-si%C3%A8cle," rel="nofollow">http://pedagotic.ca/?post/2017/10/0...</a> il est primordial de tenir compte que les enfants du 21e siècle ne sont pas les mêmes que les générations précédentes. C’est pour cette raison qu’il faut revoir l’école. Le plan d’action semble bien tenir compte de tous ces aspects. Sans ces changements, il est fort à parier qu’on se dirigerait vers un fossé entre l’école publique et privée. On verrait apparaitre une grande différence entre la réussite des élèves venant de milieux plus aisés inscrit l’école privée. Il y aurait aussi probablement une hausse du taux de décrochage à l’école publique compte tenu qu’elle ne serait pas adaptée aux besoins de l’élève. Et si on pousse plus loin les impacts, l’accès au marché du travail serait de plus en plus difficile voyant l’émergence des métiers et professions rattaché au TIC.</p>Michel Serres sur la nécessité d'adapter l'école au 21e siècle - Patrick Girouxurn:md5:c9b9fde6c2cbe5abf4917bc7bb5fcc5c2017-10-30T13:15:44-04:002017-10-30T13:15:44-04:00Patrick Giroux<p>Merci pour la référence! Je vais aller regarder cela.</p>Michel Serres sur la nécessité d'adapter l'école au 21e siècle - E. RICHARDurn:md5:bd2a0f9b55c9d0a3a10c7616a84fc2782017-10-17T03:40:51-04:002017-10-17T03:40:51-04:00E. RICHARD<p>ce qu'évoque Michel Serres dans cette contribution me renvoie au travail, et au bouquin destiné à le vulgariser, de Jean-paul Gaillard, thérapeute systémicien, prof. honoraire des universités, sur LA MUTATION PSYCHOSOCIETALE, LES ENFANTS ET ADOLESCENTS EN MUTATION (les mutants...). Cf par ex <a href="https://www.youtube.com/watch?v=WEZbrXlKW6A" title="https://www.youtube.com/watch?v=WEZbrXlKW6A" rel="nofollow">https://www.youtube.com/watch?v=WEZ...</a> et sur son site <a href="https://www.gaillard-systemique.com/mutation-psychosocietale." title="https://www.gaillard-systemique.com/mutation-psychosocietale." rel="nofollow">https://www.gaillard-systemique.com...</a> Une approche à découvrir absolument pour qui s'intéresse à la nécessaire adaptation de l' "éducation" ou de l' "enseignement"</p>Quels gestes devrions-nous poser pour intégrer davantages de technologies en pédagogie au Québec? - Patrick Girouxurn:md5:48f465e6a1093ac83c3d951accaadf4f2017-06-05T08:38:52-04:002017-06-05T08:38:52-04:00Patrick Giroux<p>On pourrait être beaucoup plus long dans ces réponses... mais je ne suis pas certain que c'était le but de l'exercice considérant la composition du groupe des Crinqués. Je pense qu'on s,attend plus à un genre de tempêtes d'idées.</p>Quels gestes devrions-nous poser pour intégrer davantages de technologies en pédagogie au Québec? - François Guitéurn:md5:4d8cbe73522cc097746dfe78aa674a592017-06-02T16:02:26-04:002017-06-02T16:02:26-04:00François Guité<p>Voilà un excellent billet, qui répond clairement et précisément aux questions sous l'angle de la science. Je te félicite également de répondre aux questions sur ton blogue.</p>Défendre la formation aux TIC à l'Université! - Patrick Girouxurn:md5:955bbc4028c11fe470e808ab00d588ea2017-05-08T12:01:30-04:002017-05-08T12:01:30-04:00Patrick Giroux<p>Merci pour cet apport. Je suis tout à fait d'accord. Je peux témoigner que je constate fréquemment le manque de personnel qualifié dans les écoles et les institutions. Ça se traduit par un manque important de soutien du personnel enseignants. Soutien dont ils ont cruellement besoin...</p>Défendre la formation aux TIC à l'Université! - lacpurn:md5:895f19c6b58312259b3ae8990ee67abf2017-04-19T14:03:59-04:002017-04-19T14:03:59-04:00lacp<p>Bonjour,</p>
<p>J’aimerais apporter, je l’espère, une légère contribution à ce billet et qui touche aussi un autre article sur ce même site qui est: Si vous voulez comprendre pourquoi on doit RAPIDEMENT apprendre à exploiter les TIC en classe. Article que je trouve excellent surtout d’un point de vue scientifique.</p>
<p>J’ai occupé un poste de technicien TIC entre 2008 et 2010 dans un cégep dans le but d’aider les enseignants, et du même coup, les étudiants, à développer des compétences technologiques afin de produire des documents textes ou audiovisuel dans l’optique du plan TIC 2014.</p>
<p>Nous sommes en 2017 et je constate effectivement que le divertissement a gagné plus de points que l’utilisation de l’informatique à des fins de compétences et de productivité. Je ne suis ni contre le divertissement ni contre l’enseignement classique, bien au contraire, mais l’école existe pour former la société. Cependant, notre société est aussi en manque de personnel compétent afin de pourvoir les postes de plus en plus exigeants avec les technologies. Il suffit de regarder les prochaines générations de voitures comme dans le milieu industriel, médical ou scientifique qui sont en pleines expansions, pour voir à quel point nous sommes déjà au beau milieu d’une transformation majeure qui ne fera que s’accélérer.</p>
<p>Je pense donc que l’utilisation des technologies doit s’apprendre dans un but de productivité général ou spécialisé (études supérieures) qui relèvera de l’enseignement. Il est donc impératif, encore à mon avis, de former les gens aux changements présents et futurs afin d’obtenir une meilleure place dans un monde en évolution constante.</p>
<p>Je pense aussi que les établissements d’enseignement doivent avoir plus de personnel spécialisé en informatique et en technologie au service des ressources à l’enseignement afin de polariser et d'effectuer ce transfert de compétence, et ce, dans toutes les sphères de l’enseignement, mais jamais au détriment de l’enseignement classique qui a une place très importante. Je crois qu’il est important de donner une base technologique solide aux élèves qui auront à jouer un rôle dans la société.</p>Pourquoi la réussite éducative ou la performance du système d'éducation ne doit pas se mesurer en diplômes - Vickyurn:md5:a85fded44d1a99d41f317f0d41fcd9302015-12-05T11:16:08-05:002015-12-05T12:16:08-05:00Vicky<p>Il faut aussi ajouter que la plupart des formations offertes aux étudiants des cycles supérieurs ne sont malheureusement pas complètes ni majoritairement pertinentes. Je m’explique : je suis en mesure de parler en connaissance de cause pour ce qui est du Baccalauréat en enseignement au secondaire, et même d’appuyer les différences de formation entre les Universités de Montréal (UdeM et UQAM) dans leurs qualités d’enseignement au niveau de la pédagogie. Cependant, je cherche surtout à apporter un point supplémentaire quant à la non-représentativité du taux de diplomation comme indicateur de réussite. En effet, en quatre années d’étude, aucun étudiant en enseignement n’est prêt à dire qu’il se sent formé pour enseigner. Le problème d’obtention du diplôme est tout à fait hors-sujet puisque plus de la moitié des cours suivis par les enseignants ne concernent pas les notions qu’ils vont enseigner, et rien ne nous informe sur les ficelles du métier, sur les agissements à avoir avec certains types d’élèves ou encore sur la simple méthode pour travailler efficacement à former un cours. Expliquez comme cela, on pourrait croire que l’on n’apprend rien, mais ce n’est pas le cas; par-contre, comme beaucoup d’autres programmes, le mien devrait subir des changements majeurs. L’apprentissage dit «sur le tas» que l’on subit en stage est réellement le plus pertinent, puisqu’on se voit supervisé par un enseignant directement, et les apprentissages des notions plus poussées nous permettent de fournir un enseignement de qualité. Malgré cela, il est impossible de se fier à l’obtention des diplômes, dans quelques domaines que ce soit, pour juger du taux de réussite ou de l’intelligence des étudiants, d’où mon appréciation du commentaire : «non, les diplômes ne garantissent actuellement pas que les jeunes Québécois ont les compétences et les savoirs minimaux». Au niveau des savoirs minimaux, on critique avec raison le diplôme obtenu au secondaire, puisque les critères ont tellement diminués qu’il s’agit uniquement d’un permis de travail.</p>Ça veut dire quoi au juste "Un système d’éducation performant"? - Patrick Girouxurn:md5:b7b1a1150ed906b76f745af0332237002015-09-29T17:04:22-04:002015-09-29T17:04:22-04:00Patrick Giroux<p>Merci pour votre réaction. Je suis bien heureux de savoir que je ne suis pas le seul à penser que le débat sur la notion de réussite est nécessaire...</p>