PédagoTIC - Mot-clé - livrel - Commentaires2022-09-08T13:36:33-04:00Patrick Girouxurn:md5:67c8906fbe5029d2332f9922007a59b2DotclearLes livres numériques aux PUQ - pgirouxurn:md5:caa656de5fe351b76b85a8a6dceb22372010-12-06T09:12:39-05:002010-12-06T10:12:39-05:00pgiroux<p>Je comprends mieux. Je vais devoir fouiller cette question de DRM. J'y ai porté assez peu d'attention...</p>Les livres numériques aux PUQ - Robert Davidurn:md5:0c69623b3511be5498f0fcaff296d0282010-12-05T21:42:09-05:002010-12-05T22:42:09-05:00Robert David<p>Excellente proposition ce livre pour les cours sur l'intégration des TIC.</p>
<p>Relativement aux lecteurs, ce n'est pas tant un problème de format (ePub et pdf occupent un large espace avec chacun leurs avantages respectifs) que de DRM (Digital rights management). Si j'achète un livre chez O'Reilly, vendu sans DRM, je peux le téléverser en format ePub et PDF et l'importer dans mon lecteur iBook, si c'est celui que je préfère. Si je décide, quelques mois plus tard, qu'un nouveau lecteur, par exemple Stanza, correspond mieux à mes besoins, je prends mes livres achetés chez O'Reilly (ou ceux du projet Guttenberg, par exemple) et je les importe dans mon nouveau lecteur.</p>
<p>Par contre, ceux acheté chez Amazon avec Kindle ou Apple par l'intermédiaire de iBook ne pourront jamais quitter leur lecteur d'origine. Mes livres seront toujours prisonniers d'un seul lecteur. Et ils ne seront pas accessibles à ceux qui, comme toi, travaillent sur Linux sauf si le vendeur décide de porter son lecteur sur ce système d'opération.</p>
<p>Imaginons maintenant que chaque maison d'édition au Québec décide de lancer son lecteur maison avec ses propres DRM... Quel foulli pour les élèves et les étudiants. Imaginons ensuite que quelques années plus tard, cette maison fasse faillitte. N'est-ce pas ce qui s'est passé il y a quelques années avec l'achat de fichiers musicaux protégés... la faillitte de certaines boutiques en ligne... et de nombreux usagers qui ont tout simplement perdu accès à leurs fichiers musicaux.</p>
<p>Je préfère de loin la solution des PUQ ou de Pragmatic Bookshelf qui ajoute le nom de l'acheteur au bas de chaque page du livre. Cette stratégie peut contribuer à réduire la copie sans contraindre l'acheteur dans son usage du livre qu'il a payé.</p>Les livres numériques aux PUQ - pgirouxurn:md5:4fc3351d503bbeda81b74a7854a549882010-12-05T15:02:27-05:002010-12-05T16:02:27-05:00pgiroux<p>Ça pourrait aussi être intéressant de se regrouper plusieurs professeurs en TIC et mettre nos ressources ensemble pour créer un livre pertinent pour nos cours. Comme nos cours sont souvent un peu différents, les contenus seraient riches et variés. Le format rendrait la mise à jour possible et facile. Ce serait aussi un moyen de donner l'exemple...</p>
<p>Concernant les lecteurs, j'y avais peu penser. C'est vrai que c'est problématique. Étant un utilisateur de Linux, je suis habitué d'utiliser des outils moins connus et plutôt universels.<br />
Il existe des logiciels libres comme Calibre (<a href="http://calibre-ebook.com/" title="http://calibre-ebook.com/" rel="nofollow">http://calibre-ebook.com/</a>) et FBReader (<a href="http://en.wikipedia.org/wiki/FBReader" title="http://en.wikipedia.org/wiki/FBReader" rel="nofollow">http://en.wikipedia.org/wiki/FBRead...</a>) qui lisent plusieurs formats. Calibre, par exemple, peut lire, importer ou exporter des livres numériques provenant de plusieurs outils/sites commerciaux et dans plusieurs formats. La page Wikipédia donne des détails: <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Calibre_(logiciel" title="http://fr.wikipedia.org/wiki/Calibre_(logiciel" rel="nofollow">http://fr.wikipedia.org/wiki/Calibr...</a>)</p>Les livres numériques aux PUQ - Robert Davidurn:md5:b056fb9e44b1cd47f500f6137aac03422010-12-03T15:40:04-05:002010-12-03T16:40:04-05:00Robert David<p>Oui, je pourrais être intéressé par un projet de livre numérique. Il serait également intéressant de réaliser une expérimentation bien documentée dans une école primaire ou secondaire.</p>
<p>J'ajoute un élément de préoccupation aux réflexions très pertinentes énumérées dans ton billet, celui de l'application permettant la lecture des livres numériques ou, devrais-je dire, des applications.</p>
<p>Pour des raisons de « sécurité », la plupart des distributeurs nous enferment dans un lecteur bien spécifique. Ainsi, si j'achète un livre sur Amazon, je dois utiliser l'application Kindle. Idem avec Apple et le iBook. L'application Inkling, sur le iPad, est fort intéressante et l'entreprise annonce avoir signé avec plusieurs grands éditeurs américains pour la distribution de leurs ouvrages à caractère académique. Au Québec, certains éditeurs souhaitent également offrir leur propre application.</p>
<p>Est-ce à dire que nous devrons constamment passer d'une application à l'autre selon les livres que nous voudrons consulter ? Et puisque tu indiquais l'importance que tu accordes aux annotations, elles seront elles aussi confinées à chaque lecteur. C'est ainsi que j'ai des annotations dans iBook pour certains livres, dans Kindle pour d'autres, dans Mendeley pour les pdf sans restriction, etc.</p>
<p>Je disais plus haut que je trouvais l'application Inkling très intéressante. Voici pourquoi. Premièrement, elle offre des outils de navigation très appropriés pour des ouvrages scolaires ou académiques. Elle permet aussi de faire des zoom sur les images ou graphiques, d'ajuster la taille du texte et, détail important, peu importe le rendu dans le lecteur (selon la taille du lecteur électronique, la taille des caractères, etc), il y a une correspondance de page avec le livre imprimé. Donc, si le prof demande d'aller à la page 112... Elle offre aussi des outils simples d'annotation et elle permet de les partager dans un groupe de travail. Bref, un lecteur très bien fait, qui ne demande pas un travail hors de portée à l'éditeur pour bien exploiter ses possibilités. Cependant, un lecteur fermé qui ne peut être utilisé que pour les ouvrages acquis par le biais de l'application.</p>
<p>Au final, j'espère que de plus en plus les éditeurs offriront, comme O'Reilly, des livres sans protection et dans plusieurs formats (pdf, epub, DAISY, notamment).</p>Les livres numériques aux PUQ - Robert Davidurn:md5:3cd7d3c4442f5cae333a1bb7cbd6a9bd2010-12-03T15:40:00-05:002010-12-03T16:40:00-05:00Robert David<p>Oui, je pourrais être intéressé par un projet de livre numérique. Il serait également intéressant de réaliser une expérimentation bien documentée dans une école primaire ou secondaire.</p>
<p>J'ajoute un élément de préoccupation aux réflexions très pertinentes énumérées dans ton billet, celui de l'application permettant la lecture des livres numériques ou, devrais-je dire, des applications.</p>
<p>Pour des raisons de « sécurité », la plupart des distributeurs nous enferment dans un lecteur bien spécifique. Ainsi, si j'achète un livre sur Amazon, je dois utiliser l'application Kindle. Idem avec Apple et le iBook. L'application Inkling, sur le iPad, est fort intéressante et l'entreprise annonce avoir signé avec plusieurs grands éditeurs américains pour la distribution de leurs ouvrages à caractère académique. Au Québec, certains éditeurs souhaitent également offrir leur propre application.</p>
<p>Est-ce à dire que nous devrons constamment passer d'une application à l'autre selon les livres que nous voudrons consulter ? Et puisque tu indiquais l'importance que tu accordes aux annotations, elles seront elles aussi confinées à chaque lecteur. C'est ainsi que j'ai des annotations dans iBook pour certains livres, dans Kindle pour d'autres, dans Mendeley pour les pdf sans restriction, etc.</p>
<p>Je disais plus haut que je trouvais l'application Inkling très intéressante. Voici pourquoi. Premièrement, elle offre des outils de navigation très appropriés pour des ouvrages scolaires ou académiques. Elle permet aussi de faire des zoom sur les images ou graphiques, d'ajuster la taille du texte et, détail important, peu importe le rendu dans le lecteur (selon la taille du lecteur électronique, la taille des caractères, etc), il y a une correspondance de page avec le livre imprimé. Donc, si le prof demande d'aller à la page 112... Elle offre aussi des outils simples d'annotation et elle permet de les partager dans un groupe de travail. Bref, un lecteur très bien fait, qui ne demande pas un travail hors de portée à l'éditeur pour bien exploiter ses possibilités. Cependant, un lecteur fermé qui ne peut être utilisé que pour les ouvrages acquis par le biais de l'application.</p>
<p>Au final, j'espère que de plus en plus les éditeurs offriront, comme O'Reilly, des livres sans protection et dans plusieurs formats (pdf, epub, DAISY, notamment).</p>