PédagoTIC - Mot-clé - ordinateur - Commentaires2022-09-08T13:36:33-04:00Patrick Girouxurn:md5:67c8906fbe5029d2332f9922007a59b2DotclearSur la prise de notes avec et sans les technos - Patrick Girouxurn:md5:02fd8ee069e59608456157ef0a7191da2019-11-04T15:09:00-05:002019-11-04T16:09:00-05:00Patrick Giroux<p>Sur Twitter, on m'a donné l'exemple des notes prises sur une tablette avec un stylet et le logiciel Onenote. On peut y ajouter des vidéos, des photos, créer des liens entre différentes pages de notes ou avec des pages web (liens qui seront faciles à suivre), on peut ajouter des dessin, etc.</p>le BYOD à l'école... - sandrineurn:md5:0700f34fed958a43dfcfd42aa4e5fdbe2015-04-27T16:20:28-04:002015-04-27T16:20:28-04:00sandrine<p>Je vous remercie beaucoup pour votre réponse très rapide.<br />
Bonne soirée</p>le BYOD à l'école... - Patrick Girouxurn:md5:29f34e3d12feed502370cf47d5e7eaed2015-04-27T14:06:10-04:002015-04-27T14:06:10-04:00Patrick Giroux<p>Bonjour!</p>
<p>Le ou les étudiants qui ont écrit ce billet ont terminé mon cours depuis plusieurs mois. Je vais donc me permettre de répondre...</p>
<p>Je dois d'abord préciser que je suis au Québec. Selon votre commentaire, je pense savoir que vous êtes en France. Je ne connais pas exactement la situation en France et ça pourrait varier...</p>
<p>Au Québec, il n'y a pas de document officiel ou de politique ministérielle concernant le BYOD selon ce que j'en sais. Ça pourrait m'avoir échappé, mais les chances sont bien minces! Le plus souvent, l’enseignant propose une charte ou un code aux parents et aux élèves. Parfois c'est l'école. Les jeunes et leurs parents doivent signer le document. Le BYOD n'est jamais obligatoire et, à ma connaissance, les élèves sont toujours responsables de leurs appareils, jamais l'école.</p>
<p>PAt <img src="/themes/default/smilies/smile.png" alt=":-)" class="smiley" /></p>le BYOD à l'école... - sandrineurn:md5:0cf41c419cb40e780faf00bd8252091e2015-04-26T16:37:32-04:002015-04-26T16:37:32-04:00sandrine<p>Bonjour,<br />
Je viens de votre article sur le Byod et j'aimerais savoir si, actuellement, un protocole est mis en place pour permettre aux élèves d'apporter leur matériel en classe. En effet, j'ai une classe de cm et je suis très limitée en nombre d'ordinateurs. Permettre à mes élèves d'apporter leur matériel me permettrait d'envisager la mise en place d'une classe inversée beaucoup plus sereinement. Les enfants maitrisent presque tous l'usage de la tablette et la découverte de nouveaux logiciels est beaucoup plus simple aujourd'hui qu'il y a quelques années. Ils sont bien plus motivés mais le problème est au niveau de la responsabilité. Si le matériel apporté par les enfants venait à être cassé dans le sein de l'école, qui devrait assurer les frais de réparation?<br />
Je vous remercie par avance pour votre réponse en espérant qu'il existe officiellement un document qui clarifierait la solution.<br />
Bonne soirée</p>Autobiographie: Ma relation avec les technologies - etu71urn:md5:565672d8eecd1533ea5869de5d86a67e2014-01-24T12:10:14-05:002014-01-24T13:10:14-05:00etu71<p>Merci Mme Suzie,</p>
<p>J'ai bel et bien lu votre article.</p>Autobiographie: Ma relation avec les technologies - etu71urn:md5:0662a291a5aa9d468d5b49b927f6e8942014-01-24T12:09:18-05:002014-01-24T13:09:18-05:00etu71<p>Merci pour votre commentaire A.Gagné.</p>
<p>Toutefois, je me permets de vous préciser mon point de vue sur des éléments que vous avez abordés.</p>
<p>Personnellement, je me souviens d'un seul cours endormant en histoire au secondaire et il s'agit d'un cours où l'enseignante tentait désespérément de nous transmettre la matière par l'entremise des technologies du moment. Simplement un adon? Peut-être bien. Tandis que l'enseignante qui nous a le plus intéressés à l'histoire était celle qui avait un don pour nous raconter les faits historiques. (Je précise l'utilisation du «nous», car c'est un sujet que nous avions déjà abordé en secondaire 5, dans ma classe. Je connais donc l'opinion général de mes anciens camarades de classe.) Donc, de dire que les technologies vont nécessairement rendre un cours d'histoire captivant, permettez-moi d'en douter puisque j'ai vécu totalement le contraire. De plus, les jeux de rôle sont particulièrement appréciés des élèves et c'est un excellent moyen de leur faire «vivre» l'histoire.</p>
<p>Ensuite, peut-être me suis-je mal exprimée, mais dire que j'utiliserai les technologies si cela est intéressant revient au même que si j'essaye de trouver de nouveaux moyens de faire comme vous me l'avez conseillé. Si ces nouveaux moyens sont intéressants, ils rentrent automatiquement dans cette catégorie. Cependant, on voit souvent dans nos stages et durant nos cours, des enseignants qui veulent intégrer les technologies à tout prix, mais qui détruisent de facto notre intérêt car cette intégration est inutile et inintéressante. Chaque activité doit être pertinente pour captiver l'élève et certaines ne nécessitent pas l'utilisation de moyens technologiques.</p>
<p>J'ai déjà utilisé les technologies durant mes stages et je ne me priverai pas de les utiliser car, en effet, c'est un bon moyen pour divulguer de la matière autre que les cours magistraux. Néanmoins, je ne l'utiliserai pas systématiquement à chaque cours comme on semble vouloir me convaincre de faire. ( Le «on»ne vous vise pas bien évidemment!)</p>
<p>Je prends votre commentaire au sérieux et je le garde en mémoire. Je tenais simplement à préciser ces détails que je trouvais important pour la compréhension de mon billet, autant pour vous que pour les prochains lecteurs.</p>
<p>Bien à vous, bonne journée!</p>Où je me situe par rapport aux TIC - etu73urn:md5:93bf266fdad1fe0ebe292d09c26a93be2014-01-21T08:01:40-05:002014-01-21T09:01:40-05:00etu73<p>Vous avez totalement raison! Je dois prendre de l'assurance quant aux technologies.<br />
Merci pour ce commentaire fort constructif et encourageant.</p>Autobiographie: Ma relation avec les technologies - Suzieurn:md5:349bd5ab88eef3cfbec44144b14c8c782014-01-17T14:29:03-05:002014-01-17T15:29:03-05:00Suzie<p>J'ai envie de te suggérer la lecture de cet article afin d'alimenter ta réflexion sur l'intégration des TIC en classe, c'est un modèle sur lequel nous reviendrons ce trimestre...</p>
<p><a href="http://www.infobourg.com/2013/09/09/le-modele-samr-une-reference-pour-lintegration-reellement-pedagogique-des-tic-en-classe/" title="http://www.infobourg.com/2013/09/09/le-modele-samr-une-reference-pour-lintegration-reellement-pedagogique-des-tic-en-classe/" rel="nofollow">http://www.infobourg.com/2013/09/09...</a></p>Où je me situe par rapport aux TIC - A. Gagnéurn:md5:78db3d1ef8857bfd496b0a0a212d05212014-01-16T16:02:22-05:002014-01-16T17:02:22-05:00A. Gagné<p>Bonjour,<br />
enseigner le français ouvre de nombreuses possibilités via les technologies pour faire écrire davantage les élèves et rendre plus signifiant leurs apprentissages. Faire bloguer, écrire des reportages, enregistrer des podcasts et autres productions numériques stimulent la créativité des élèves et sans trop le remarquer, sans effort, ils pratiquent leur langue.</p>
<p>On ne doit pas avoir peur des technologies et il faut sortir de la simple utilisation bureautique.<br />
Dans mon école, une prof enregistre des capsules de grammaire, des dictées et autres consignes pour faciliter le travail des élèves à la maison et les résultats sont surprenants.</p>
<p>Mettez les élèves en action, à la tâche et ils ne cesseront de vous surprendre !</p>
<p>Bonne fin de Bac !</p>
<p>Alexandre Gagné<br />
conseiller pédagogique, enseignant d’histoire/géo<br />
Montréal, Qc</p>Autobiographie: Ma relation avec les technologies - A. Gagnéurn:md5:ae31a34ba2ee72fd3545c0d8d0ca3e732014-01-16T15:52:04-05:002014-01-16T16:52:04-05:00A. Gagné<p>Je me permets de réagir à votre texte.<br />
D’abord, je suis surpris qu’on relève dès la première phrase que l’histoire est une matière « endormante ». C’est triste de penser que c’est a priori ce dont on se souvient. Relever ce fait revient à perpétuer cette idée et vient justement appuyer la nécessité d’y introduire les technologies.</p>
<p>Justement pourquoi ? Si les élèves considèrent l’histoire ennuyante c’est peut-être parce qu’on leur a trop raconté et qu’ils ont été peu actif dans les cours. Écouter un prof raconter l’histoire est effectivement bien désolant. Certes, certains moments sont nécessaires pour situer des faits, remettre en contexte, mais les technologies permettent aujourd’hui aux élèves de prendre part à l’histoire du passé pour mieux la comprendre et surtout la faire vivre.</p>
<p>Il est impératif que les élèves acquièrent un méthodologie de travail. Lire des textes est fondamental. Les comprendre encore plus. La technologie leur vient en aide pour définir et visualiser cette histoire parfois difficile à saisir.</p>
<p>Par la suite, de nombreux projets avec des ressources en ligne, comme les vieux journaux de la BANQ, ou des banques de photos aux États-Unis, en France et au Québec fournissent matière à donner vie à l’histoire. Faire parler un personnage du passé sur Twitter ? Pourquoi pas! Faire dialoguer ce personnage avec d’autres de son époque ou répondre à des questions de jeunes d’aujourd’hui ? Encore mieux.</p>
<p>L’histoire n’a de sens que si elle est vécue. L’enseignant doit être en classe pour donner le goût aux élèves d’être curieux. Une fois cela fait, ils feront le reste pratiquement tout seul, s’ils sont bien encadrés…ce qui revient au prof.</p>
<p>Ce prof doit cesser d’être à l’avant-scène. Il doit être au coeur de la classe pour soutenir les élèves dans leurs découvertes.</p>
<p>On dit qu’il est « obligatoire » d’appliquer la compétence professionnelle 8. Oui, et c’est bien ainsi, car les jeunes générations en devenir sont et seront les travailleurs de demain dans un environnement numérique. Les empêcher d’utiliser les outils numériques revient à leur bloquer un avenir prometteur. Heureusement, vous dites « demeurer ouverte aux nouveautés » et je vous encourage à vous documenter et à vous former en ce sens et cela tout au long de votre carrière.</p>
<p>L’histoire est vivante et tous y participent chaque jour. C’est loin d’être ennuyant. Et les technologies rendront la chose encore plus vivante car il participe à activer l’implication des élèves dans la matière. Dire que nous allons les utiliser « si cela est intéressant » seulement n’est pas suffisant. Il faut trouver de nouvelles façons de faire, sinon vous aller perpétuer ce que vous avez probablement vous même eu comme cours d’histoire…un cours ennuyant.</p>
<p>Bonne chance et soyez dynamique. Faite l’histoire !</p>
<p>Alexandre Gagné<br />
historien, journaliste, communicateur<br />
Conseiller pédagogique<br />
Montréal, Qc</p>