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Les technologies pour venir en aide aux élèves dyslexiques.

Depuis la venue de la politique de l’adaptation scolaire en 1999, tout est mis en œuvre afin d’intégrer les élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation et d’apprentissage (EHDAA) dans les classes régulières. Dans son plan d’action pour 2009-2013, le MELS abonde en ce sens en définissant l’objectif suivant parmi ses priorités : « Mettre en place les conditions qui favorisent la réussite des EHDAA ». Évidemment, comme ils sont atteints d’un trouble d’apprentissage, les jeunes vivant avec la dyslexie sont directement concernés par cet objectif. Il a été prouvé par Brossard (2001) que les élèves qui ont une grande difficulté en lecture éprouvent également de la difficulté dans les autres matières scolaires. Il est donc très important d’intervenir rapidement auprès de ces élèves et de mettre en place les meilleures conditions possible pour favoriser leur réussite. Depuis quelques années, le MELS soutient les élèves dyslexiques dans leurs apprentissages en leur fournissant un ordinateur portable muni de logiciels spéciaux, un enregistreur numérique ainsi qu'un stylo numérisateur et en leur permettant de les utiliser dans les cours et examens. Les enseignants du 3e cycle du primaire doivent maintenant composer avec cette nouvelle réalité dans leur classe et y adapter leur enseignement. La question que j’en viens à me poser est la suivante : En quoi ces technologies changent la réalité scolaire des dyslexiques et de leurs enseignants? Afin de répondre à cette question, je ferai un survol des technologies que l’élève dyslexique utilise ainsi que des avantages de celles-ci en ce qui concerne son rendement et je proposerai des moyens d’adapter notre enseignement à ces technologies, le tout en exprimant mon opinion personnelle sur l’importance de ces technologies à l’école. Afin d’alléger le texte, j’utiliserai seulement le terme « dyslexie » pour désigner les difficultés des enfants, même si en réalité leur diagnostic peut être soit de dyslexie et/ou de dysorthographie, selon l’endroit où se manifestent les difficultés (lecture ou écriture).

Tout d’abord, afin d’aider les élèves dyslexiques dans leur cheminement scolaire, le MELS leur fournit un ordinateur portable qu’ils pourront utiliser en classe. Évidemment, celui-ci est muni d’un logiciel de traitement de texte auquel les autres logiciels viennent se greffer. Comme les enfants d’aujourd’hui l’utilisent régulièrement, je crois que l’ordinateur est l’outil tout désigné pour les dyslexiques. L’ordinateur est une source naturelle d’intérêt chez les jeunes, ils prennent plaisir à le manipuler et à explorer leurs diverses fonctions. C’est donc, selon moi, un moyen avec lequel ils se sentent plutôt à l’aise de travailler. À lui seul, le logiciel de traitement de textes peut déjà aider les élèves dyslexiques, car avec l'habitude, ils en viennent à prendre des notes plus rapidement avec celui-ci que lorsqu’ils écrivent avec une feuille et un crayon. Toutefois, cela n’est pas suffisant. Quatre types de logiciels sont fournis aux enfants dyslexiques afin de les aider dans leur parcours scolaire, soit : un logiciel de synthèse vocale, un prédicteur de mots, un correcteur d’orthographe ainsi qu’un organisateur d’idées. Un enregistreur numérique leur est aussi fourni pour qu’ils puissent enregistrer leurs idées ainsi que les explications de l’enseignant.

Pour débuter, l’ordinateur des élèves dyslexique est muni d’un logiciel de synthèse vocale, tel que Word Q. Ce type de logiciel relit à l’enfant ce qu’il vient d’écrire. L’enfant peut aussi sélectionner du texte dans un document électronique et le faire lire par le logiciel. Comme l’a dit Rioux, au moment de la révision de leurs écrits, les dyslexiques « ne voient pas leurs erreurs grammaticales ou lexicales, ils relisent ce qu’ils croient avoir écrit ». Je crois donc que ce type de logiciel est d'une aide vraiment précieuse pour ces enfants. En effet, qui n’a jamais remis un travail scolaire fait à l’ordinateur avec une faute de frappe qu’il n’avait pas vue malgré plusieurs révisions? Les dyslexiques vivent ce problème quotidiennement. C’est là que le logiciel de synthèse vocale les aide grandement, car c’est en entendant ce qu’ils ont écrit qu’ils peuvent distinguer leurs erreurs et qu'ils peuvent les corriger plus facilement, ce qui leur permet de remettre des écrits de meilleure qualité.

Dans un même ordre d’idées, les enfants dyslexiques ont aussi droit à un logiciel de prédiction de mots sur leur ordinateur. Word Q comprend cette fonction, mais les logiciels Médialexie et Kurzweil le permettent aussi. Le prédicteur de mots suggère à l’enfant des terminaisons possibles à un mot lorsqu’il en tape les premières lettres. Il « présente également les prochains mots pertinents » à la phrase de l’enfant (Quillsoft). Évidemment, tous les mots présentés à l’enfant sont bien orthographiés. Comme les enfants dyslexiques ont une courte mémoire de travail, ils doivent « constamment chercher l’orthographe des mots » (Fauteux). Il me paraît donc évident que l’utilisation d’un logiciel de prédiction de mots leur fait sauver un temps immense, car ils ont directement accès aux mots correctement orthographiés. Ils peuvent donc se concentrer sur d’autres aspects lors de leur rédaction et produire des textes plus longs, plus développés. De plus, selon Fauteux, l’exposition directe à la bonne orthographe d’un mot permet aux élèves d’enregistrer la bonne orthographe de ce mot. Ce que j’en conclus est que si l’élève est fréquemment exposé aux diverses formes incorrectes d’un mot qu’il écrit, il sera impossible pour lui de retenir la bonne forme et il devra donc toujours la chercher dans le dictionnaire. De plus, comme les dyslexiques ont de la difficulté à discriminer les lettres qui composent un mot, la recherche dans un dictionnaire peut s’avérer être très laborieuse et prendre une bonne partie du temps dont ils auraient besoin pour produire un texte de qualité. C’est pourquoi le logiciel de prédiction de mots leur est utile. Le correcteur d’orthographe les aide aussi de ce côté.

Parmi les différents correcteurs orthographiques, Antidote est le plus fréquent. Il est effectivement installé dans plusieurs écoles, donc les élèves dyslexiques sont avantagés de l’utiliser puisqu’ils retrouvent le même sur les ordinateurs de la classe ou du laboratoire informatique. Certes, le correcteur orthographique permet aux dyslexiques de corriger leurs erreurs d’orthographe. Toutefois, un correcteur tel qu’Antidote les aide aussi à corriger leurs erreurs de grammaire et de syntaxe. La qualité de leurs productions en est donc grandement améliorée. De plus, Antidote comprend une foule d’autres dictionnaires. Si l’enfant ne comprend pas un mot qu’il retrouve dans un texte, il peut l’entrer dans le logiciel et celui-ci lui proposera une définition, des synonymes, antonymes ainsi que des propositions dans lequel ce mot peut être utilisé. À mon avis, le logiciel Antidote est une aide précieuse pour tout le monde, enfants, adultes ou adolescents. En effet, qui ne l’a jamais utilisé? C’est pourquoi il me semble tout naturel que l’enfant dyslexique puisse y accéder. De plus, comme pour le prédicteur de mots, Antidote permet à l’élève dyslexique de sauver un temps précieux en lui évitant de s’empêtrer dans les pages d’un dictionnaire.

Pour clore l’énumération des logiciels, les dyslexiques ont aussi accès à un idéateur. Ces logiciels, comme Inspiration, « permettent à l’élève d’écrire ses idées et de les relier entre elles sous forme de schéma » (Rioux) ou de se faire un plan structuré du texte qu’il veut écrire. Comme les élèves dyslexiques ont une courte mémoire de travail, ce logiciel leur permet de se faire un plan bien structuré. Il m’apparaît évident que c’est ici que leur enregistreur numérique prend toute son utilité. Plutôt que d’écrire directement leurs idées dans le logiciel et de risquer d’en oublier quelques unes en cours de route, il serait très efficace pour eux d’enregistrer leurs idées principales sur leur appareil et de les réécouter par la suite pour rédiger leur plan sans rien oublier. Ils peuvent aussi faire la même chose lorsque l'enseignant leur donne le plan d'un travail. Je crois donc que l’utilisation seule du logiciel d’organisation d’idées offre une aide considérable pour les dyslexiques, tant qu’ils disposent de leur enregistreur numérique pour retenir plus efficacement leurs idées.

Finalement, les élèves dyslexiques peuvent aussi être munis d’un crayon numérisateur comme le C Pen ou le SmartPen. Ces crayons numérisent l’écriture imprimée et la transfèrent dans un logiciel de traitement de texte. Ils peuvent aussi lire oralement le texte que l’élève sélectionne sur sa feuille. Selon moi, si ces crayons leur étaient autorisés en tout temps, leurs résultats dans les examens pourraient grandement augmenter. Comme Brossard l’a énoncé (2001), une difficulté en lecture entraîne une mauvaise compréhension des questions, non seulement en français, mais aussi en mathématiques ou en sciences. Le fait que l’élève puisse entendre verbalement les questions est considérable pour lui, puisqu’il ne fait pas d’erreur en les lisant et il a ainsi une meilleure compréhension du problème, ce qui entraîne une augmentation de ses résultats scolaires. Bref, en augmentant chacun la qualité des productions et des travaux des élèves dyslexiques, les outils énumérés ci-haut réduisent l’exposition de ces étudiants à l’échec, donc augmentent leur sentiment de réussite. Ce sentiment augmente leur confiance en eux, qui a son tour augmente leur estime de soi. Tous ces facteurs font en sorte que les élèves dyslexiques sont beaucoup plus motivés à l’école (Rioux, citant Fauteux).

Une fois que les élèves ont reçu leur portable avec ses logiciels et autres outils, il faut maintenant les intégrer à l’école. S’il est tout naturel pour les élèves d’utiliser ces technologies, l’enseignant du primaire risque d’être plus intimidé face à tout cet équipement qui arrive dans sa classe. Je crois que l’enseignant qui intègre un élève dyslexique avec son portable dans sa classe doit faire preuve de deux valeurs primordiales : l’ouverture d’esprit et la tolérance. Il faut que l’enseignant soit ouvert d’esprit, car il devra modifier sa routine ainsi que ses façons de faire afin d’adapter son enseignement aux aides technologiques qui sont fournies à l’élève. De plus, il devra être réceptif à recevoir diverses formations qui vont l’aider à comprendre les technologies que l’élève utilise. Il doit aussi être à l’aise avec le fait que l’étudiant puisse l’enregistrer pour s’assurer de ne manquer aucune information lorsqu’il écoute et écrit des consignes. L’enseignant devra aussi faire preuve de tolérance, car il est évident que l’élève dyslexique ne travaillera pas dans le même silence auquel les autres élèves peuvent être contraints. L’enseignant devra tolérer que l’enfant dyslexique écrive des notes sur son portable pendant les explications ou qu’il dicte des notes à voix basse dans son enregistreur numérique.

Outre le développement de ces valeurs, la première stratégie que devrait développer l’enseignant de l’élève dyslexique est de suivre une formation pour comprendre les technologies que ce dernier utilise. Bien que les étudiants d’aujourd’hui soient presque nés avec un ordinateur dans les mains, ils sont parfois encore inexpérimentés et peuvent avoir de la difficulté à utiliser les logiciels. Il serait donc impératif pour moi que l’enseignant soit capable d’aider l’élève dans une telle situation. Honnêtement, pour avoir moi-même essayé de travailler avec les divers logiciels énumérés plus haut, il n’est pas évident d'en comprendre toutes les fonctions et d’arriver à travailler efficacement avec eux. Je crois qu’il est de mise que l’enseignant sache utiliser ces logiciels afin d’être en mesure d’offrir une aide personnalisée à l’élève et de ne pas être déboussolé devant ses problèmes.

Ensuite, il serait important que l’enseignant soit en mesure de fournir des documents électroniques à l’enfant. Par exemple, l’élève pourrait recevoir une version électronique d’un texte à lire (en version .pdf ou .doc) et des questions qui lui seraient associées (en format .doc). De cette façon, l'élève pourrait utiliser ses logiciels de synthèse vocale et son dictionnaire électronique afin de bien comprendre le texte qui lui est donné. De plus, il pourrait composer ses réponses à l’aide de tous ses logiciels et fournir des réponses de qualité nettement supérieure que s’il les écrivait sur papier. Il me semble impératif que les enseignants fournissent une version électronique des exercices aux élèves, sans quoi leur ordinateur leur servirait presque uniquement à prendre des notes, chose plutôt rare au primaire. Selon moi, fournir des technologies à l’élève sans que ses travaux en tiennent compte, c’est comme si rien n’était fait pour l’aider. Il va essayer de faire ce qu’il peut pour réussir, mais sans faire valoir son plein potentiel.

Finalement, comme Vermette l’a souligné (1992), la communication comporte plusieurs éléments pour être efficace. Je crois que les enseignants intégrant un élève dyslexique avec ses aides technologiques devraient développer une grande compétence en communication. Je tiens particulièrement à souligner l’importance des éléments 14 et 15 soient : le volume (direction) du son et l’articulation. Comme l’élève dyslexique risque d’enregistrer fréquemment les explications et consignes données par l’enseignant, il est impératif que celui-ci porte attention à être toujours parfaitement audible par l’enregistreur. Il doit parler fort et bien prononcer chaque syllabe d’un mot. De plus, afin de favoriser le meilleur enregistrement possible, je proposerais à l’enseignant d’organiser le plan de sa classe pour que l’élève dyslexique soit en ligne directe avec sa bouche.

Pour conclure, on a pu voir que les technologies qui sont fournies à l’élève dyslexique sont d’une grande aide pour son rendement scolaire. Les logiciels de synthèse vocale, de correction orthographique, de prédiction de mots et d’organisation des idées, en plus de l’enregistreur numérique et du stylo numérisateur augmentent grandement les chances de réussite des élèves. Évidemment, l’enseignant devrait tenir compte de ces technologies en suivant une formation pour pouvoir aider l’élève, en lui fournissant une version électronique des travaux, en développant une bonne compétence à communiquer et en adoptant des valeurs d’ouverture et de tolérance. En réunissant tous ces facteurs, l’élève dyslexique pourrait enfin bénéficier d’un environnement scolaire qui le soutient au maximum dans ses apprentissages. Finalement, pour maximiser les chances de réussite des élèves dyslexiques, « les interventions spécifiques entreprises par le milieu scolaire se devraient d’être en continuité avec les efforts réalisés en milieu familial » (Tremblay, 2010). En effet, plusieurs logiciels et jeux éducatifs peuvent être utilisés par les enfants dyslexiques à la maison pour augmenter leur niveau de compétence générale, mais cela pourrait faire l’objet entier d’un autre article.

Il est à noter que j'ai utilisé tous les outils disponibles pour vérifier la qualité de la langue et que j'ai fait tout ce qui est en mon pouvoir afin de respecter les règles de la nétiquette. À cet effet, le texte a été modifié le 3 janvier 2011. J'ai corrigé les quelques erreurs qui s'y étaient glissées.

Marie-Michelle Dubois

Références écrites :

BROSSARD, L. (2001) Se préoccuper du français dans toutes les matières, Revue Vie pédagogique, volume 121, novembre-décembre 2001, p.64.

CLOUTIER, R. et VERMETTE, J. (1992) La parole en public : savoir-être, savoir faire. Ste-Foy, les Presses de l'université Laval, 208 p.

TREMBLAY, I. (2010) Recommandations de l'orthophoniste (demande d'allocation pour les besoins particuliers), Commission scolaire du Pays-des-Bleuets.

etu14

Auteur: etu14

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Commentaires (9)

Stéphanie Gauthier Stéphanie Gauthier ·  09 octobre 2010, 4:37:54 PM

Je suis parfaitement d'accord avec toi. Les ordinateurs peuvent beaucoup aider les enfants dyslexique et j'ai même pu le constater dans mon stage l'année dernière! C'est un excellent outil!

Suzieee Suzieee ·  12 octobre 2010, 10:57:39 AM

J'adore ton essai. J'ai maintenant beaucoup d'outils en poche pour aider les enfants dyslexiques. Je crois même que tous ceux-ci peuvent aussi être utiles pour d'autres difficultés d'apprentissage.
J'ai une petite question: combien peut coûter un crayon numérique?

Marie-Michelle Dubois Marie-Michelle Dubois ·  17 octobre 2010, 7:16:52 PM

Oui Suzie, les logiciels que j'ai présentés peuvent être utiles pour des élèves ayant d'autres difficultés, notamment certains types de dysphasie. J'oserais même dire qu'ils peuvent être utiles pour toute la population en général. Pour ce qui est des crayons numérisateurs, les prix peuvent varier. Le C-Pen, que j'ai essayé, coûtait un peu plus de 300$ et il fonctionnait avec Word Q pour lire ce qu'il numérise. Toutefois, j'ai vu la version C-Pen 10 qui se détaille aux alentours de 170$. Comme il y a une foule de crayons différents qui possèdent diverses fonctions, je te conseille cette page du Récit en adaptation scolaire qui donne de l'information sur plusieurs crayons numériques : http://recitadaptscol.qc.ca/spip.ph... .

Suzieee Suzieee ·  17 octobre 2010, 7:20:33 PM

Merci ! :)

Marie Marie ·  03 avril 2013, 8:25:16 PM

Le portable et son logiciel de prédicteur de mot peuvent être en effet très utile pour l'élève, toutefois, je me questionne sur l'utilisation du portable lors d'une dictée, est-ce que c'est aidant pour l'élève ? Il doit gérer la dictée, le portable, les touches en même temps.

Marie Marie ·  03 avril 2013, 8:25:23 PM

Le portable et son logiciel de prédicteur de mot peuvent être en effet très utile pour l'élève, toutefois, je me questionne sur l'utilisation du portable lors d'une dictée, est-ce que c'est aidant pour l'élève ? Il doit gérer la dictée, le portable, les touches en même temps.

Aline Aline ·  28 février 2014, 7:53:29 AM

Bonjour Marie-Michelle,

Je suis tombée sur ton article en faisant une recherche pour l'université. La question à laquelle je dois répondre est justement : un élève dyslexique a-t-il le droit d'utiliser un ordinateur portable? J'ai donc la réponse à ma question et je t'en remercie énormément, cependant il me faut des références officielles, pourrais-tu me transmettre le lien avec le document ministériel où il est indiqué qu'un enfant dyslexiques a droit à ce type de matériel? Je te serais infiniment reconnaissante.
Aline

Patrick Giroux Patrick Giroux ·  28 février 2014, 9:28:50 AM

Bonjour,

Malheureusement, l'étudiante qui a écrit ce billet était étudiante comme toi, mais en 2010. Elle ne te répondra probablement pas puisqu'elle a terminé depuis un bon moment. Cherche sur le site du MELS, tu trouveras ta réponse assez facilement... Bonne chance pour ton cours!

PAt :-)

Aline Aline ·  28 février 2014, 5:34:24 PM

Merci Pat,

Malheureusement j'ai retourné le site du MELS sous toutes les coutures et je n'ai pas trouvé ce document. :-(

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