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En tant qu’enseignant sommes-nous prêts pour la Génération C ?

Dans le monde d’aujourd’hui, chaque individu doit se positionner sur son opinion concernant les TIC et par le fait même sur la génération C. Que l’on soit pour ou contre, on ne peut s’empêcher d’avoir des opinions négatives ou positives sur ce sujet. Nous sommes confrontés à ce phénomène qu’on le veuille ou non. L’évolution dans le domaine des technologies est tellement rapide que nous sommes trempés dans ce monde involontairement. Cette génération, appelé la génération C, comporte les jeunes de 12 à 24 ans et compte selon le CEFRIO plus d’un million et demi d’individu environ. Ils sont venus au monde et ils ont grandit au sein des technologies. Ils s’imposent dans la société en devenant tranquillement la majorité de celle-ci. Ils sont à la fine pointe et ils ont tout ce qu’il faut pour faire évoluer la société d’aujourd’hui. Mais nous en tant qu’enseignant sommes-nous prêts à recevoir ces jeunes ? Avons-nous le bagage nécessaire pour y faire face ? Serons-nous supporter dans ce revirement de fonctionnement ? Sommes-nous prêts à mettre les efforts nécessaires pour offrir un enseignement adapté à cette nouvelle génération ? Nous sommes rendus à l’heure de se poser ces questions, pourtant le changement est présent depuis plusieurs années et le résultat de cette réflexion n’est toujours pas effectuer. Voyons ensemble notre vision du portrait actuel des enseignants face à la génération C.

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Dans le milieu de l’enseignement, le retard vis-à-vis les TIC est frappant et même alarmant selon certains. Cette génération vient au monde pratiquement dans la technologie et l’incorpore dans pratiquement toutes leurs actions et réactions. Il est donc naturel de penser que leur éducation sera effectuée, en partie du moins, avec les TIC d’une façon concrète, constante et au goût du jour. Mais la réalité est bien différente. Malgré la détermination et la volonté du système scolaire, intégrer cette nouvelle réalité dans un milieu humain est plus ardu qu’on l’aurait cru.

Tout d’abord, il faut regarder l’enseignement fait dans les universités pour former les enseignants qui seront dans les écoles et qui feront face à ce nouveau phénomène. Le contenu des modules en éducation est plutôt du type ancienne génération et n’est pas du tout adapté aux nouvelles technologies. Ce n’est pas d’hier que la société voit venir le changement et nous sommes toujours à retardement sur le progrès et malheureusement des problèmes majeurs en découlent. Sur la majorité des enseignants présentement en poste, une minime partie sont à jour côté technologique et ont suffisamment de compétences en TIC pour suffire aux besoins des nouveaux élèves. Ils peuvent avoir une certaine expérience personnelle liée à internet mais pour le mettre en pratique en pédagogie c’est un autre monde. Il faudrait un énorme changement du côté des universités dans l’intégration de cette nouvelle réalité pour permettre de former des cohortes d’enseignants aptes et compétents du point de vue technologique. Si l’on regarde de notre côté en formation professionnelle, mis à part ce cours-ci, initiation aux technologies éducatives, nous n’avons pas de formation pertinente en matière de technologies. Donc, comment voulez-vous que des enseignants, qui sont souvent d’une autre génération, qui n’ont pas ou presque pas d’expériences envers les TIC soient en mesure d’affronter tout ce changement. Ce n’est pas nécessairement mieux en ce qui concerne l’enseignement primaire et secondaire. Nous sommes conscients que l’enseignant doit se mettre à jour tout au long de sa carrière mais nous croyons que si à la base dans la formation des enseignants il y a un manque d’acquis, c’est beaucoup plus difficile de suivre la cadence ensuite. Heureusement, certains enseignants sont réalistes et ouvert d’esprit et ils ont compris qu’ils se devaient d’effectuer ce changement et d’adapter le système d’éducation. Au Nouveau-Brunswick, il y a un centre d’apprentissage qui se veut un laboratoire du point de vue technologie en éducation et le directeur Monsieur Roberto Gauvin a mentionné que :

« Le monde ne va pas attendre que les enseignants soient prêts pour la technologie. Les enseignants doivent apprendre à sortir de leur zone de confort. La technologie avance, fait partie du quotidien et les élèves auront besoin de la maîtriser une fois adulte. »

Malheureusement, de nos jours, il est de plus en plus difficile de motiver les élèves de la génération C à rester sur les bancs d’école assez longtemps pour s’offrir un avenir meilleur. Pour ceux qui aime l’école et qui ont un plan de formation établi ça peut aller, mais pour les autres, nos étudiants majoritairement, le fait de se conditionner à venir à l’école chaque jour est déjà un gros effort. Nous pensons que d’intégrer les technologies dans l’enseignement est un bon moyen de favoriser leurs apprentissages et augmenter leurs intérêts. Que ce soit en leur offrant des cours plus interactifs ou d’inclure et se servir de leurs connaissances déjà acquises en technologies dans notre pédagogie. Les possibilités sont nombreuses mais la réalité n’est pas représentative. D’un autre côté, selon un article paru dans La Presse, les jeunes ont une piètre opinion des compétences technologiques de leurs enseignants. Seulement 35 % estiment que la plupart des professeurs sont en mesure de les accompagner adéquatement lorsqu'ils surfent sur Internet. Selon Mario Asselin, directeur général de la société Opossum et ancien directeur d’école, cité dans le rapport du CEFRIO sur la génération C :

« L’élève d'aujourd'hui sait que la connaissance se trouve partout et qu’elle ne doit pas obligatoirement transiter par la tête d’un enseignant pour qu’il y accède. Il sait qu'il peut chercher et trouver de l'information, et qu’il lui est aussi possible de contre-vérifier ce qu'on lui dit. Ainsi, le professeur représente encore une grande source de connaissances, mais ce n’est pas la seule. La notion d'autorité passe de la contrainte (qui fonctionne de moins en moins) à l'argumentation (qui donne de meilleurs résultats si elle est valorisée en bas âge). Allergiques à beaucoup de choses, les enfants d’aujourd’hui ont aussi tendance à se montrer rébarbatifs quand on ne leur propose qu’un seul plan de match. C'est comme s'ils savaient qu'il est normal que chacun n'apprenne pas les mêmes choses de la même façon et à la même vitesse ! »

Donc, malgré le bon vouloir des commissions scolaires, ils continuent de restreindre l’utilisation d’internet et ainsi ne favorise absolument pas l’épanouissement des élèves dans un domaine qui est le leur. Voici ce que Mario Asselin, directeur général de la société Opossum et ancien directeur d’école en a dit : «Il y a un train qui s'en vient à grande vitesse avec plein de gens qui veulent produire du contenu sur Internet. Les commissions scolaires les bloquent et veulent mettre des filtres. Il va y avoir des collisions bientôt.» En voulant contrôler de façon excessive sont utilisation, ils peuvent créer l’effet contraire et donner de bonnes raisons aux jeunes d’agir d’une mauvaise façon et de développer de mauvais comportements face aux technologies. Est-ce que nous nous faisons une image préconçue du milieu de l’éducation, en pensant que son but premier est bien d’éduquer et les TIC font maintenant parties de ce qui doit être enseigné, alors pourquoi vouloir freiner au lieu d’aller de l’avant et être innovateur.

Selon nous, un des effets de ces restrictions se traduit dans l’utilisation de ces jeunes envers internet. Selon le CEFRIO, la génération C se servent des ordinateurs pour communiquer, collaborer et pour créer. Par contre, selon les statistiques du CEFRIO il n’y a pas beaucoup de création de la part des C. Ce qui peut indiquer une problématique à surveiller pour ne pas que les jeunes ne soient que des témoins de cette évolution mais plutôt des collaborateurs à part entière. Cela dit, les jeunes qui passent plus de temps sur internet sont plus susceptibles de devenir plus actif que de simples spectateurs puisqu’ils sont sollicités de tout côté. Donc nous devrions favoriser l’utilisation d’internet pour ne pas qu’ils développent de mauvais comportement. Voici les pourcentages recueillis par l’organisme sur l’utilisation d’Internet pour créer et pour mettre en ligne d’autres informations des jeunes de la génération C :

• 5 % des jeunes écrivent dans un wiki • 8 % font connaître leur opinion sur un produit donné • 12 % transfèrent des vidéos vers des sites de partage de vidéos • 13 % téléchargent des photos vers un site de partage de photos

Il ne faut pas oublier que ce sont des jeunes, des adultes en devenir et que nous sommes là pour leur indiquer le chemin à suivre. Notre responsabilité est de les guider et de leur permettre, au meilleur de nos connaissances, d’exploiter au maximum tous leurs potentiels et d’explorer tout ce qui s’offre à eux.

Sommes-nous dans une impasse ou allons-nous faire ce qu’il faut pour remédier à la situation ? Est-ce que les nouveaux enseignants seront mieux formés, mieux adaptés et plus ouverts à cette nouvelle génération ? Peut-être pas si l’on en croit les propos de François Guité, coordonnateur du Réseau d'information sur la réussite éducative au Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec et conférencier lors du colloque Génération C du CEFRIO :

« Je m’inquiète de voir qu’encore aujourd’hui, on forme dans les universités des enseignants qui n’ont qu’une très faible connaissance de la culture numérique, souligne ce spécialiste. J’ai peine à croire que dans les 35 prochaines années, ces futurs enseignants continueront à enseigner leurs matières en se servant uniquement des anciennes méthodes. »

Bref, le parcours pour y arriver est bien tortueux et semés de multiples embuches. Mais avec de la volonté et en mettant tous nos moyens à dispositions le changement peut s’effectuer avec succès. En participant activement à cette transition nous serons non seulement des éducateurs plus expérimentés, plus compétents, plus performants mais surtout plus intéressants. Nous ne verrons pas immédiatement les effets positifs de ces efforts collectifs mais nous pourrons en être fiers lorsque tout sera réalisé et stabilisé. En plus de devenir meilleur d’un point de vue professionnel, nous aurons le bagage nécessaire pour ne pas se perdre comme individu et se faire ramasser par ce raz-de-marée technologique. Nous n’y pouvons rien le changement et l’évolution technologique font partie intégrante de la société d’aujourd’hui, alors pourquoi vouloir y mettre un frein et être intolérant. Donc, pour répondre à la question : Sommes-nous prêts à recevoir la génération C en tant qu’enseignant ? La réponse est malheureusement non. Par contre, nous ferons ce qu’il faut, du moins nous l’espérons, pour que les suivants le soient.

Nous vous invitions à regarder ce vidéo du conférencier Francesc Pedro qui parle de l’avenir de TI dans l’univers de l’éducation (un peu long mais très intéressant) :

voici le lien ici

Nous vous invitons également à parcourir le Rapport-Synthèse du CEFRIO concernant la génération C :

CEFRIO



voici le lien ici

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Steeve Lapointe, Dominic Renaud, Alain Lavoie

etu15 (Marc-Antoine)

Auteur: etu15 (Marc-Antoine)

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Commentaires (8)

Gael PLANTIN Gael PLANTIN ·  23 mars 2013, 2:05:43 AM

Bien... le diagnostic est posé, quelles solutions envisagez-vous ?

Faut-il former les enseignants aux TICs et/ou les former à l'intégration des TICs dans leurs pratiques pédagogiques ?

Selon vous, quelles seraient les modalités de formation à proposer aux enseignants ?

etu15 etu15 ·  26 mars 2013, 3:49:00 PM

Premièrement, nous n'avons pas la prétention de dire que nous avons posé un diagnostic, pas plus que nous avons la recette miracle pour améliorer les choses.

Cependant, nous voulions donner notre opinion et essayer de laisser une petite trace dans l'esprit de ceux qui nous liront. Des solutions miracles, nous ne croyons pas qu'il en existe. Mais nous pensons que le départ devrait se faire dans les universités en offrant des formations oui sur les TIC mais évidemment sur la manière de les intégrer dans nos pratiques pédagogiques. Nous pensons que l'un ne va pas sans l'autre. Nous croyons que certains cours devraient être inclus dans les programmes en enseignement et que des cours complémentaires devraient être offerts à ceux qui en auraient besoin durant leur carrière. Ne serait-ce que pour se mettre à jour et avoir tout le bagage nécessaire pour être à la hauteur des exigences de ces nouveaux élèves.

Par contre, nous sommes également conscients que cette deuxième partie ne peut être envisagée sans la participation active des enseignants. Malheureusement, c'est un autre problème que l'on voit fréquemment. Des enseignants plus âgés et avec plusieurs années derrière eux, sont souvent réticents à ces changements. Mais il ne faut pas baisser les bras, au contraire il faut se retrousser les manches et y faire face. Trouver des moyens pour y parvenir car c'est l'avenir. Donc, avec du bon vouloir de tous et chacun, nous pourrions envisager que le portrait du point de vue technologiques dans les écoles soit meilleur dans les prochaines années, du moins nous l'espérons.

Gael PLANTIN Gael PLANTIN ·  27 mars 2013, 2:29:29 PM

J'ai bien peur que le "Bon vouloir" soit insuffisant pour promouvoir ce que vous préconisez.

Vos propositions restent très/trop proches du discours ambiant et "ternissent" l'espoir que votre premier billet avait fait naitre, c'est dommage !

Vous parlez comme des "profs" : "inclure dans le programme", "cours complémentaires", ...

Si la recette était aussi simple, les profs issus des générations qui manipulent les outils informatiques et y ont été formés, par le biais du C2i en France, seraient sans doute plus disposés à intégrer les TICs dans leurs pratiques, or, il n'en ait rien....

Les TICs sont des outils, l'important n'est pas de savoir comment s'en servir (ces compétences peuvent s'acquérir sur le tas...), mais bien de savoir pourquoi s'en servir, quand s'en servir, dans quel but, selon quelles modalités.

Sur cette base, il me paraît plus utile d'accompagner chaque enseignant dans sa démarche pédagogique, de revenir aux fondamentaux de cette dernière pour identifier les modalités pédagogiques à mettre en oeuvre compte tenu du public concerné et des objectifs d'apprentissage envisagés : alors seulement, il faudra envisager les TICs comme une des modalités possibles, si et seulement si, elle contribue à un meilleur apprentissage...

Patrick Giroux Patrick Giroux ·  27 mars 2013, 3:34:26 PM

Bonjour messieurs!

Bravo pour le billet. Je sais que l'idée de se compromettre en ligne et de s'exposer est un peu différente et qu'elle exige beaucoup des étudiants.

Gael a déjà parlé du rôle des TIC, de leur statut en éducation. Je crois qu'il a raison et il vous piste vers une direction à réfléchir. Le changement à faire n'est pas technologique, ni technique. Il est d'abord pédagogique. J'entrevois sous votre billet la croyance fausse (mais fréquente!) qu'il faut être "un pro" des TIC avant de les intégrer. C'est rarement nécessaire. Par contre, il est certain que vous devez être un "pro" de la pédagogie pour réussir à intégrer le TIC! Vous devez être capables de réarranger les interactions entre vous, les apprenants, le contenu, le matériel et les outils. Vous devez être capables de naviguer à travers de nouvelles manières de faire et d'approcher les compétences et les connaissances selon des angles différents. Vous devez être capable d'envisager l'évaluation différemment et de l'ajuster parce que les TIC affecteront les interactions citées plus haut. Quand je vous demande "C'est quoi le potentiel de cet outil en éducation?" après une démonstration ou un exercice, c'est à ça que je fais référence... Le but est de vous amener à imaginer des configurations différentes de l'enseignement/apprentissage ou de décrire comment ces outils pourraient vous permettre de réorganiser les interactions citées plus haut.

Je crois ensuite que vous surestimez le rôle de la formation initiale. Avec ce que vous avez appris sur la vitesse du développement technologique, vous devriez réaliser que nous formons aujourd'hui des gens pour qu'ils puissent exercer des fonctions et relever des défis qui n'existent même pas encore... Il me semble impossible de vous préparer pour toutes les situations. Il faut apprendre à réfléchir, analyser, s'adapter... Et continuer à le faire à chaque jour que l'on travaille.

D'un autre côté, c'est vrai que les TIC pourraient occuper plus de place dans la formation à l'université. Je sais cependant que certains collègues font des efforts d'intégration de Moodle, du KnowledgeForum et d'autres outils aussi. Malheureusement, tous les enseignants font face aux mêmes contraintes (celles décrites par tes collègues dans les billets précédents comme le temps, l'accès aux TIC, la formation continue, etc.) et défis... De plus, comme je l'ai dit plus haut, nous ne pourrons jamais vous confronter et vous préparer pour toutes les situations que vous rencontrerez.

etu15 etu15 ·  09 avril 2013, 6:54:39 PM

Merci pour ton commentaire Patrick, tu nous donnes des pistes de réflexions pour le futur. Il est vrai que de faire ces réflexions et d'y émettre nos opinions n'est pas facile. Mais nous sommes ouverts au changement, alors il faut s'y mettre. Par contre, nous ne pouvons pas être d'accord sur tout et nous croyons que notre point vu est malléable selon les points de vue qui nous sont apportés. Mais nous restons convaincus que nous n'avons pas tout ce qu'il faut pour faire face à toutes ces technologies sans formations pertinentes. Nous ne voyons pas comment nous pourrions intégrer plus concrètement les TIC et les différents programmes que tu nous offres sans y passer plusieurs heures pour être capables de les faire fonctionner. Il faut croire que comprendre le fonctionnement de toutes ces technologies n'est pas donné à tout le monde à part égale.

Patrick Giroux Patrick Giroux ·  11 avril 2013, 8:08:09 AM

Bonjour etu15

Je comprend votre besoin de formation et d'assistance. Il est certainement légitime. De plus, il faut avoir accès aux TIC facilement pour que ça soit possible pour vous de les intégrer... Je sais que ce n'est pas toujours le cas. Pourtant, il s'agit de conditions essentielles. Mon propos, cependant, ne vise à pas à vous encourager à vous lancer sans filets. Je veux juste vous amener à envisager de ne pas attendre d'être un pro des techno avant de les intégrer. Ce n'est pas nécessaire pour en tirer des bénéfices SI vous prenez des bonnes décisions pédagogiques (i.e. miser sur les forces des TIC et les utiliser dans des occasions et des contextes dans lesquelles on exploite ces forces). Les apprenants peuvent vivre avec une petite part de risque si vous avez un plan B. Vous, êtes-vous prêt à prendre un petit risque et à être un peu inconfortable pour essayer d'améliorer une situation pédagogique?

etu15 etu15 ·  12 avril 2013, 1:04:41 PM

Oui nous sommes prêts à faire ces efforts. Nous y voyons beaucoup de positif et c'est pourquoi nous souhaitons acquérir plus de connaissances pour pousser ce côté pédagogique plus loin dans nos cours.

Patrick Giroux Patrick Giroux ·  14 avril 2013, 5:26:23 PM

Et bien je vous souhaite un peu de chance et du succès dans vos entreprises pédagogiques, qu'elles soient techno ou pas!

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