PédagoTIC

La génération C

Née entre1984 et 1996, ces jeunes sont de grands utilisateurs de technologie et d’information. Ils ont grandi avec internet et s’en serve pour communiquer, collaborer et créer.

La génération C et l’innovation Deloitte démontrent que les jeunes issues de la génération C parlent en effet que 78 % d’entres eux est essentielle à la croissance d’une entreprise, ils considèrent aussi a 45 % que l’entreprise reste la principale source d’innovation.

Ils représentent 45 % des travailleurs au cours de la prochaine décennie, on sait qu’ils sont ambitieux et veulent travailler avec les TIC. C’est une génération qui croit que le monde devrait se livrer à eux, les enfants l’ont eu plus facile dans la vie que nous, ils sont habitués que les parents veillent sur eux, et que tout le monde leur doive.

Il manque de curiosité, les jeunes ne lisent plus les journaux, ils ne se préoccupent presque plus aux nouvelles découvertes. Ils sont trop occupés à texter et vérifier leur compte sur Facebook. Il ne faut pas les mettre tous dans le même panier parce qu’il y en a qui travaille très fort.

Je crois que pour le marché du travail pour la génération C quand on les engage et bien on engage tous son réseau. La génération C est aussi différente sur le marché du travail pour eux le climat de travail favorable est d’avoir des horaires flexibles, mais ils pensent que certains employeurs pourront difficilement leur offrir de telle condition de travail.

Mais côté salaire ils sont prêts à commencer au bas de l’échelle.

Pour les parents, la communication est la voie la plus adéquate pour affirmer leur autorité auprès d’eux et surtout tenir notre point de vue, je crois que ces la que les parents peuvent abandonner, mais il ne faut pas céder. En lui montrant que nous lui faisons confiance. Le reste est une discipline.

Les jeunes passent énormément de temps à utiliser les ordinateurs, et accorde une place importante dans leur vie, de plus les technologies ne cessent d’évoluer est-ce normal que les jeunes en connaissent davantage sur les ordinateurs. Les jeunes consacrent en moyenne 19 heures par semaine à l’utilisation des médias. Ceci est sans compter les heures passées à écouter de la musique ou de regarder la télévision. En fin de compte une grande partie de leur vie sociale se déroule devant l’écran de leur ordinateur. Les jeunes ne font pas assez d’exercice, ils sont trop occupés à jouer sur leur ordinateur.

Selon CEFRIO 39 % des jeunes 12 a 17 ans un cellulaire, et 73 % de 18 à 24 ans, mais regardons les annonces de cellulaire tout pour plaire à la génération C, toujours plus rapide, et peut tout faire.

Maintenant parlons des études cela est trop facile plus besoin de compter, ce multiplier ou faire des fautes de français puisque l’ordinateur le fait pour eux, en plus il n’apprenne plus à écrire (tchatcher) est bien plus facile et plus rapide et nécessite moins de français alors peut-on appeler ça la loi du moindre effort.

La génération C en tant qu’enseignant je pense que se servir d’internet est important, mais est-ce toujours correct la motivation manque un peu lors de l’utilisation de cette technologie. Les nouvelles technologies permettent de faire de nouvel apprentissage, mais tout en utilisant les bons outils.

Pour répondre aux nouvelles attentes de la génération C, les entreprises doivent donc leur offrir davantage et miser sur la qualité d’une expérience complète et enrichissante. Bien sûr la génération C veut un emploi stable, et qui leur offre un horaire flexible et le tout avec des outils à la fine pointe de la technologie.

Contre toute logique après la génération X,Y, laisse aussi la place à la génération C ils sont tombés dans la marmite des nouvelles technologies, mais la génération y les médias sociaux font partie de leur quotidien, mais la différence avec la génération C ces surtout qu’elle est connectée en permanence.

J’ai lu dans un article sur Les jeunes se servent de plus en plus du web pour communiquer et accéder à leur réseau de contacts. S’ils se rendent, compte qu’ils ne peuvent plus utiliser au travail ce qui est souvent pour eux un véritable outil professionnel en plus d’être un outil de social. Ils pourraient décider d’aller travailler ailleurs, ils ont l’impression qu’avec le web, on se dirige vers un monde de plus en plus ouvert.

Plusieurs résultats démontrent que les jeunes Québécois s’informent et s’impliquent d’avantages sur les réseaux sociaux et on laissé la version papier, plusieurs vont également exécuter des recherches sur internet afin de trouver l’information sur des articles produits de manière acceptable sur le plan social.

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Etu 24 et Etu25