PédagoTIC

Je pense que ma plus grande peur, c’est de me lancer. Après, bien qu’un peu compliqué, on arrive à trouver un certain fantasme à imaginer les pertes de temps retrouvées. Comme un désir qui trouve une pointe d’assouvissement, je me revois vociférant contre la lenteur de ces technologies nouvelles. Rapidement, l’ordi ne rend pas service de façon équitable à notre besoin de sauver du temps. Je réalise, qu’avec un peu plus de compétences et de savoir-faire, l’interaction rendra l’utilisation de ces différentes applications plus «pratico pratique».

Les faiblesses du web sont plus mes faiblesses face à cela. Je ne trouve pas vraiment de faiblesse si ce n’est que l’effet de nouveauté me procure une bonne dose de craintes. De vieilles habitudes et de vieilles façons de faire sont semblables à de vieilles routines et ce n’est pas facile de leur faire adopter un changement, quelqu’en soit le niveau. On est tous craintifs chacun à notre niveau de voir s’opérer un changement dans nos façons de procéder.

J’ai souvent peur de me lancer. Peur de quoi ? Peut-être, trop de mots de passe ou peut-être aussi le bris informatique ou de provoquer une surcharge et la perte de données.

J’explore, petit à petit, le «Googgle docs» en application sur un «Powerpoint» en montage. Je commence à bien aimer les «Pearltrees» que j’ajoute à ma présentatique à partir des alertes reçues dans mon courriel, ce qui donne de superbes liens. Je suis à explorer tout ça, en tentant d’optimiser le tout avec des annotations à l’aide de «Diigo», objet que je ne maîtrise absolument pas, mais qui espère m’en donner plus. Je crois que j’adorerai le projet dans quelques temps.

Finalement, tout est dans les liens, même s’ils ne sont pas évidents à voir. Les liens sont, permettez moi l’expression, dans les nuages. Un tissu de sens pour donner une signifiance ! Une parfaite essence qui mène à l’aisance. Les liens sont l’essence qui propulse la machine. Ce sont eux qui font que ça fonctionne. C’est la fin qui amène le moyen et le moyen qui procure le besoin. Hum ! Tout un lien.

Il faut se «déluner» ou «dénuler» et s’amuser à sauter dans le vide pour apprécier flotter entre les liens dans les nuages. Comme un recueil de nouvelles où on peut tisser des liens entres elles, mais que si elles sont prises chacune séparément, elles perdent une partie importante de leur signifié ou de leur essence. Je pense à un titre formidable pour ce billet…Les liens pour les Nuls !

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